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Le travail du GDR entend s'organiser principalement autour de groupes de travail, dont le sujet est assez général pour pouvoir rassembler les différentes communautés (physique des particules, astrophysique et théoriciens). Il va sans dire que des sous-structures peuvent se créer autour d'un sujet d'intérêt particulier.
Les six groupes de travail seront animés en principe par un tandem d'un expérimentateur et d'un théoricien.
Selon le MSSM, quelles contraintes a-t-on sur les paramètres en fonction des recherches en/hors accélérateurs au temps t? Comment relier telle région de l'espace des paramètres à telle classe de modèles? Pour plus de détails cliquez ici.
Il y a differentes manières de briser la supersymétrie, et donc plusieurs spectres possibles, selon l' echelle de brisure et les messagers (par exemple brisure de SUSY a travers la médiation des particules de jauge, etc..), ou selon l'existence des champs scalaires supplementaires (par exemple NMSSM) ou de bosons de jauge supplémentaires. Quelles contraintes a-t-on sur les paramètres? Comment relier tels paramètres à telle classe de modèles?
Quelle est sa nature (neutralino, gravitino, sneutrino)? Quels sont ses couplages? S'il est invisible, comment peut-on détecter le NLSP?
Quels sont les modèles de violation de R-parité? Où en est-on globalement sur les limites des couplages qui violent la R-parité?
Principalement les outils de simulation mais aussi calcul automatique de diagrammes de Feynman, en arbres ou avec des boucles; calcul des corrections radiatives.
Il faudra probablement plusieurs mesures sur plusieurs machines pour se convaincre que tel ou tel signal est sans contestation un signal de SUSY; scenarios possibles. En cas d'événements inattendus, tentatives d'interprétation supersymétrique.
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